« Quoi de plus doux que la présence de quelqu’un à qui l’on peut tout dire, comme à soi-même ? À quoi servirait d’être heureux sans personne pour jouir avec nous de ce bonheur ? Et comment supporter l’adversité sans l’appui de celui capable d’en supporter une plus grande part que nous ? […] Elle [l’amitié] rend le bonheur plus éclatant et plus léger le malheur parce qu’elle permet d’en partager le poids. »
CICÉRON, L’Amitié, éditions Arléa, p. 27« Retour à la liste des repères