« Le moderne est devenu incapable de percevoir d’autres critiques que venant de son propre monde, usant de ses références et employant ses méthodes. Le moderne ne parle plus qu’au moderne. Il ne se bat plus qu’avec lui-même, entre bonnes causes toutes plus saines les unes que les autres. » Philippe Muray, Causes toujours, Descartes et Cie, La Montagne, 2013, p. 101-102.