« Le culte des relations personnelles, qui s’intensifie à mesure que s’éloigne l’espoir de solutions politiques, cache un désenchantement profond vis-à-vis de ces relations, de même que le culte de la sensualité implique une répudiation de toute sensualité, excepté dans ses formes les plus primitives.
L’idéologie du développement personnel, optimiste à première vue, irradie résignation et désespoir profond. Ont foi en elle ceux qui ne croient en rien. » Christopher LASCH, La culture du narcissisme, traduction de l’anglais par Michel L. Landa, Climats, 1979, p. 84.